Qui devrait limiter sa consommation de concombre ?
En cas de reins sensibles

Le concombre est naturellement riche en potassium, ce qui est bénéfique pour la majorité des gens… sauf si vous souffrez d’insuffisance rénale. Dans ce cas, un excès de potassium peut déséquilibrer l’organisme. Avant d’en faire un aliment phare de vos repas, un petit avis médical s’impose.
Pour les voies respiratoires fragiles
Vous êtes sujet(te) à la sinusite ou à des infections respiratoires chroniques ? Mieux vaut ne pas abuser du concombre cru, surtout en période de crise. Son effet rafraîchissant, bien qu’agréable, peut accentuer les symptômes chez certaines personnes sensibles.
En cas d’allergie (même légère)
Certaines personnes peuvent ressentir des réactions légères au concombre, comme des picotements dans la bouche ou un léger gonflement des lèvres. Si vous avez déjà vécu ce genre de réaction avec des fruits ou légumes crus, faites preuve de prudence.
Digestion capricieuse ? À consommer avec mesure
Le concombre contient un composé naturel appelé cucurbitacine. Si vous avez un estomac sensible, cette molécule peut parfois provoquer ballonnements ou inconfort. Rien de grave, mais mieux vaut tester de petites quantités avant d’en faire votre aliment fétiche.
Un légume à la fois simple et précieux, à savourer avec justesse !