Le café est acide, et consommé à jeun, il peut agresser l’estomac. Si vous ressentez régulièrement des brûlures, des remontées acides ou une gêne abdominale après votre espresso du matin, mieux vaut le prendre avec un petit-déjeuner copieux… ou envisager une alternative plus douce comme le café d’orge ou une tisane digestive.
Une dépendance bien ancrée
Impossible d’ouvrir un œil sans votre café ? Vous vous sentez à plat sans lui ? Cette dépendance peut indiquer que votre corps s’est habitué à la caféine au point d’en réclamer toujours plus. Un petit sevrage progressif, accompagné de bons réflexes forme (hydratation, sommeil, activité physique), peut faire des effets très bénéfiques.
Une fatigue paradoxale qui ne passe pas

C’est le comble : plus vous buvez de café, plus vous vous sentez épuisée. En stimulant à outrance l’organisme, la caféine peut finir par épuiser vos réserves naturelles d’énergie. Un peu comme une batterie qu’on surcharge sans la reposer. Votre corps vous dit stop, tout simplement.
Comment réduire sans souffrir ?
Pas besoin de renoncer à tout du jour au lendemain ! On peut très bien savourer une tasse par jour sans excès. L’astuce ? Réduire progressivement, préférer les boissons sans caféine après 16 h, privilégier une bonne hygiène de vie (sommeil, sport, alimentation équilibrée), et remplacer votre pause-café par une infusion relaxante. Le tout, sans pression.