Qui est particulièrement touché par ce phénomène ?
Bien que personne ne soit totalement à l’abri, certains profils présentent plus de risques :
- Les personnes myopes
- Cellles ayant subi une intervention pour cataracte
- Les patients diabétiques
- Les individus de plus de 50 ans
Le point commun ? Une fragilisation du vitré ou de la rétine qui favorise l’apparition de ces particules flottantes.
Solutions existantes : quand et comment agir ?
La bonne nouvelle ? La majorité des cas ne nécessitent aucun traitement spécifique. Notre cerveau possède une capacité étonnante à s’adapter et finit par « oublier » ces intrus visuels. Pour les situations plus gênantes, deux approches peuvent être envisagées :
- La vitrectomie : cette opération délicate consiste à remplacer le vitré par une solution saline. Réservée aux cas les plus sévères.
- Le laser : cette technique vise à fragmenter les agrégats pour les rendre moins visibles. Moins invasive mais aux résultats parfois inégaux.
Ces interventions ne sont pas sans risques et ne sont proposées qu’en cas de gêne visuelle importante.
Astuces au quotidien pour mieux coexister avec ces particules

Pas envie de passer par la case chirurgie ? Voici quelques conseils pour améliorer votre confort visuel au jour le jour :
- Gymnastique oculaire : des mouvements rapides de haut en bas peuvent parfois déplacer ces particules hors de votre champ visuel.
- Alimentation protectrice : privilégiez les aliments riches en oméga-3, zinc et vitamine A pour nourrir vos yeux.
- Zéro tabac : en plus de ses effets néfastes connus, la cigarette accélère le vieillissement oculaire.
Et n’oubliez pas : des contrôles réguliers chez l’ophtalmologue restent votre meilleure assurance pour une vision préservée !