Quelles sont les personnes les plus touchées ?
Plusieurs facteurs augmentent considérablement la probabilité d’en souffrir :
- Les femmes enceintes : Les changements métaboliques et vasculaires durant les derniers mois de grossesse prédisposent à ces troubles.
- Les adeptes de sport : Qu’elles pratiquent occasionnellement ou intensément, une activité physique mal dosée ou un temps de récupération insuffisant peut déclencher ces réactions.
- Après la cinquantaine : La sarcopénie naturelle et la perte d’élasticité tissulaire rendent les muscles plus sensibles.
- En période de déshydratation : Un déséquilibre hydro-électrolytique perturbe le mécanisme de contraction-relâchement musculaire.
Les causes méconnues de vos douleurs nocturnes
Derrière ces alertes musculaires apparemment sans raison se cachent fréquemment :
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Un manque de micronutriments essentiels
Le trio magnésium-potassium-calcium est indispensable à la détente musculaire. Une légère insuffisance suffit à provoquer des réactions inappropriées.
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Une posture de sommeil défavorable
Dormir à plat ventre ou avec les pointes de pieds tendues maintient les muscles gastrocnémiens en position de raccourcissement, favorisant les spasmes.
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Une vascularisation insuffisante
En position horizontale, la circulation sanguine vers les membres inférieurs est moins efficace, limitant l’oxygénation des tissus musculaires.
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Les effets secondaires médicamenteux
Certains traitements hypotenseurs, hypolipémiants ou psychotropes peuvent inclure ces contractures parmi leurs effets indésirables. Une évaluation médicale est recommandée en cas de répétition.
Nos astuces pour prévenir les crises nocturnes
Mettez en pratique ces conseils simples pour des nuits plus paisibles :