Ce que Prateek nous enseigne
Aujourd’hui, Prateek vit avec la douleur. Une douleur qu’aucun mot ne pourra vraiment apaiser.
Mais il a choisi de partager son histoire. Non pas pour susciter la pitié, mais pour réveiller les consciences. Pour dire au monde :
« Aimez aujourd’hui. Dites-le aujourd’hui. Embrassez, pardonnez, riez… maintenant. »
Ce qui reste à Prateek, ce sont les souvenirs, cette dernière photo, ce sourire figé dans le temps, et le poids d’un amour qu’il ne pourra plus jamais exprimer dans une étreinte.
Et nous, que faisons-nous ?
Prenons un moment pour réfléchir :
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Avons-nous dit « je t’aime » aujourd’hui à ceux qui comptent ?
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Avons-nous pris le temps d’écouter, de partager, de simplement être présents ?
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Sommes-nous conscients de la fragilité de nos instants ?
La vie est un souffle. Une promesse fragile.
Nous devons apprendre à honorer chaque seconde, à vivre pleinement, sans remettre à demain ce qui fait battre le cœur.
Le deuil, le silence et la reconstruction
Le chagrin de Prateek est un abîme. Mais il a décidé d’en faire un message d’amour.
Il témoigne dans les médias, dans les cercles communautaires, dans les écoles.
Il parle de ce que signifie perdre tout ce qui compte, mais aussi de l’urgence d’aimer.
Son message est simple, mais puissant :
« Ne prenez rien pour acquis. La personne que vous aimez pourrait disparaître demain. »
Une mémoire vivante
Komi, Anaya, Rohan, et petit Dev… leurs noms sont gravés dans le cœur de Prateek.
Et désormais, à travers cette histoire, ils vivent dans notre mémoire aussi.
Ils deviennent un symbole.
Un rappel.
Une lumière dans l’ombre de l’oubli.