« Papa n’est pas mort, il est sous le plancher », dit la petite fille. La police a alors commencé à creuser…

Tout semblait anodin ce matin-là, jusqu’à ce que la petite Léa prononce une phrase qui fait froid dans le dos… Que cache donc cette famille en apparence sans histoire ? Vous n’êtes pas préparés pour ce que cette enquête va révéler.

Quand un simple rapport devient une énigme glaçante

C’est un matin comme un autre au commissariat de quartier. Mathieu Rivière, chef de la brigade locale, pensait traiter un énième cas de disparition. Un mari volatilisé sans prévenir, un formulaire rempli à la hâte… rien de bien alarmant.

Pourtant, un détail attira aussitôt son attention : ce n’est pas l’épouse du disparu qui s’était présentée, mais sa voisine, Françoise Dubois. Et elle n’était pas seule.

À ses côtés, une fillette de quatre ans, Léa, peluche contre le cœur, regard vide et lèvres serrées. Sa maman, Claire, avait refusé qu’on l’emmène, mais la voisine avait insisté :

« Il faut que tu entendes ce que la petite a dit. »

Un témoignage qui change tout

Face au chef de police, Léa prononça une phrase inattendue. D’une voix tremblante, elle répondit :

« Papa est sous le sol de la cuisine… là où le carrelage est plus clair. »

Un silence lourd s’installa. Même les plus aguerris des officiers échangèrent des regards inquiets. Ce n’était plus une simple fugue. Mathieu ordonna sur-le-champ une inspection du domicile et convoqua Claire au poste.

Une mère trop calme pour être vraie ?

Moins d’une heure plus tard, Claire Garnier franchit les portes du commissariat, impeccable, presque détachée. Chemisier blanc, pantalon noir, cheveux attachés. Aucune larme, aucun signe de panique.

« Ce n’est pas la première fois qu’il disparaît », dit-elle, comme si tout cela n’était qu’une routine.
Mathieu, dubitatif, interroge :

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