Son grand-père de 84 ans, qui fait… 500 pompes par jour, est sa source de motivation pour faire du sport

Phil Mackenzie explique par ailleurs que son grand-père – en plus du sport – a toujours effectué des travaux physiques, en rénovant notamment des vieilles bâtisses. Il a même participé à la construction de la maison dans laquelle vit aujourd’hui son petit-fils, sa femme et ses quatre arrière-petits-enfants.

Phil McKenzie avec le maillot de l’équipe de rugby des Sale Sharks, en 2013Crédit photo : Wikimedia Commons

Alors forcément, avec un tel exemple, Phil ne pouvait pas ne pas se mettre au sport. Dès l’adolescence, il a ainsi commencé le rugby. Plutôt doué, il a franchi un à un les échelons et a réussi à devenir joueur professionnel à l’âge de 22 ans, en Angleterre. Il a même disputé plusieurs matches de Coupe du monde avec la sélection canadienne. En parallèle, il a toujours pratiqué l’haltérophilie, car il voulait soulever des poids, comme le faisait son grand-père avant lui.

« J’ai commencé à jouer au rugby à 13 ans et à faire de l’haltérophilie à 14 ans, ce que j’ai adoré grâce à mon grand-père. Je l’ai vu soulever des poids et je me suis rendu compte qu’il avait confiance en lui et qu’il était capable. Je pense donc que j’ai éprouvé un amour profond pour l’haltérophilie dès que j’ai commencé, simplement parce que je l’ai vu faire pendant si longtemps. » (Phil Mackenzie)

Aujourd’hui retraité du rugby, l’influenceur continue néanmoins de faire du sport au quotidien. Une pratique régulière qu’il concilie parfaitement avec sa vie de famille. Certes, il aimerait parfois en faire davantage, mais il se contente désormais de courtes, mais agréables, séances d’entraînement, avec toujours cet objectif d’être aussi sportif que son grand-père, quand il aura son âge.

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